Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Présentation

  • : Le blog de l'A.T.F.S.
  • : Le site web de l'association de thérapie familiale systémique - Caen (14)
  • Contact

Recherche

Pages

Liens

30 novembre 2011 3 30 /11 /novembre /2011 09:51

Le souci légitime de protéger les victimes d'infractions a parfois pour effet pervers de générer de la peur chez les victimes elles-mêmes, et aussi chez les intervenants qui, par précaution, refusent de prendre le moindre risque.

Nous avons déjà évoqué, dans de nombreux articles, la possibilité et l'intérêt de mettre en présence les victimes et les auteurs d'abus sexuels commis dans les familles. Ces rencontres, lorsqu'elles sont bien préparées, se révèlent réparatrices tant pour la victime que pour l'auteur.

Elles sont malheureusement interdites depuis une loi de mars 2010, comme nous l'avons signalé, et regretté, dans l'article n°29 : Pénalisation de l'inceste-1.

Dans une communication faite au Congrès de l'Association "Paroles d'Enfants" en 2008, Michel SUARD avait déjà analysé, à travers la présentation de plusieurs situations cliniques, les freins mis par les professionnels de la santé, de l'éducation et de la justice pour limiter ou empêcher des rencontres entre une personne qui a été condamnée et son ou ses enfants, victimes ou non victimes. Le texte de cette communication, intitulée "Il n'y a que mon père qui peut me reconstruire" vous est présenté dans l'article n° 30, dans la rubrique "inceste"

Partager cet article
Repost0

commentaires